Archives de la catégorie:sénior

  1. Korian augmente son chiffre d’un tiers

    le groupe EHPAD Korian


     

    Le groupe Korian développe son chiffre d’affaire et continue son développement. Le gestionnaire d’EHPAD spécialisé dans l’exploitation de résidences médicalisées qui à fusionné avec l’exploitant MEDICA en 2014 est en train d’accélérer fortement son développement.

    En effet le chiffre d’affaire général de Korian au premier semestre 2015 est de 1’264 millions d’euros avec une hausse de 33% sur une base consolidée.

    En France le chiffre augmente de 2,7% pour atteindre 757 millions d’euros.

    Cette statistique permet de démontrer que bien que le taux d’occupation a légèrement reculé, les gestionnaires de résidences EHPAD ont su s’adapter et trouver de nouveaux moyens pour générer du chiffre.

    Les différentes filiales internationales du groupe Korian réalisent un chiffre de 506 millions d’euros, en progression de 2,8%.

    En Allemagne le groupe Korian enregistre une progression de son CA de presque 6% atteignant  247 millions de chiffre d’affaire ; l’acquisition récemment du groupe Allemand « Evergreen » est clairement le résultat de cette hausse et d’une belle percée sur le marché Allemand.

    Déclaration du directeur général du groupe KORIAN :

    « Après un premier semestre conforme à nos attentes, nous verrons dès le second semestre les premiers signes de nos actions de développement. Je suis confiant dans la capacité du groupe à atteindre l’objectif de chiffre d’affaires voisin de 2,6 milliards d’euros pour 2015, étape intermédiaire vers les trois milliards visés en 2017′, déclare le directeur général Yann Coléou. »

    Le gestionnaire Korian confirme son développement et sa croissance avec de bons résultats, il devrait continuer son développement et ses acquisitions dans les prochaines années pour devenir un acteur incontournable de la dépendance en France mais également à l’international.

  2. ORPEA à la conquête de la Chine

     

    ORPEA : une croissance qui s’accélère


     

    Le groupe ORPEA est l’un des leaders de la gestion de la dépendance depuis plusieurs années. Ce groupe est spécialisé dans la création et l’exploitation de résidences EHPAD. Fondé en 1989 par le docteur Jean-Claude Marian, ORPEA fera en 2015 un chiffre d’affaires de plus de 2 milliards d’euros avec un résultat d’environ 150 millions d’euros.

     

    Une implantation dans plusieurs pays 

    Le gestionnaire ORPEA est déjà implanté en France, en Belgique, en Suisse, en Italie, en Espagne, en Autriche et en Allemagne. À présent il part à la conquête du plus grand marché au monde : la Chine.

     

    2015, l’année des rachats

    ORPEA a pu s’implanter dans certains pays en rachetant des sociétés déjà installées.
    En Allemagne par exemple ORPEA a racheté le groupe Silver Care en 2014 qui était le leader en Allemagne de la prise en charge des personnes âgées. Puis en 2015 il vient de faire l’acquisition du groupe Celenus (toujours en Allemagne) qui n’est autre que le 3ème groupe privé dans les soins et la psychiatrie. En 2015 il vient de faire l’acquisition du groupe SeneCura, leader de la prise en charge de la dépendance en Autriche.

     

    Une cotation en bourse qui explose

    Depuis plus de deux ans nous observons la cotation du groupe franchir des records. Alors qu’en 2013 l’action ORPEA était valorisée environ à 30€, depuis le début de l’année 2015 elle a franchi un nouveau palier en doublant sa cotation et en oscillant entre 60€ et presque 70€ l’action. Cette confiance des investisseurs est fondée car ORPEA est en train de s’installer progressivement en Chine dans le but de devenir le leader du plus grand marché mondial.

     

    La Chine, un marché gigantesque

    Le premier accord d’ORPEA a été signé avec la ville de Nanjing (8 millions d’habitants)  qui se situe à 290 Km à l’est de Shanghai. Une première résidence sera donc construite en accord avec la ville de Gulou, ce sera donc une résidence médicalisée de 180 lits qui sera construite dans cette ville.

     

    Le chiffre à retenir

    Le chiffre qui affole tous les grands gestionnaires EHPAD : en 2050 la Chine comptera 150 millions de personnes de plus de 80 ans. De plus il faut noter que la Chine n’a à ce jour aucune structure de ce type, la prise en charge des plus vieux n’est pas aussi développée qu’en Europe.

     

    Nous pouvons constater que le groupe ORPEA est en train de se forger une place de choix sur la scène internationale dans le secteur de la dépendance. C’est un excellent gestionnaire et nous conseillons aux investisseurs de suivre de près le prix de l’action qui devrait continuer à prendre de la valeur mais également d’envisager l’achat d’une chambre EHPAD dans une résidence ORPEA => exemple de résidence : EHPAD Castagnary Paris

     

  3. Quels sont les risques d’un investissement en EHPAD ?

    Tout d’abord il faut savoir que lorsque vous achetez une chambre EHPAD, vous n’êtes pas responsable de la location de votre bien et vous ne gérez quasiment rien car c’est l’exploitant qui va prendre en charge la gestion de votre bien.

    1.Le bail commercial en EHPAD sécurisé votre placement

    C’est le bail commercial qui vous permettra de déléguer totalement la gestion de votre chambre EHPAD et de ne pas vous soucier du fait qu’il y ait un locataire ou non dans votre chambre.

    Le bail commercial est déterminant dans la sécurisation de votre actif immobilier de type EHPAD :

    Ci-dessous 3 exemples de points évoqués dans le bail commercial, sachez qu’il y en a beaucoup d’autres, le bail commercial est un contrat qui vous lie au gestionnaire :

    Le rendement : Le rendement et donc le montant des loyers perçus est établi dans le bail commercial et évoluera en fonction de l’indice de revalorisation proposé par le gestionnaire (indice EHPAD, indice ICC, indice IRL etc.)

    Le versement des loyers : Le bail commercial garantira également un versement des loyers trimestriels sur le compte bancaire de l’investisseur. Le paiement des loyers se fait même si votre chambre n’est pas louée, c’est l’engagement du gestionnaire EHPAD.

    La répartition des charges : La plupart des gestionnaires EHPAD prennent en charge les différents travaux dans la résidence (petits travaux, gros travaux et remises aux normes). En fonction du bail commercial vous pourrez également avoir la prise en charge des assurances, de la taxe sur les ordures ménagères ainsi que les charges de copropriétés et de syndic.

    Comme vous pouvez le constater, le bail commercial permettra de définir les points cruciaux de cet investissement en chambre EHPAD et de maitriser votre investissement dans les années à venir. Un bail commercial est d’une durée initiale comprise entre 9 et 12 ans, cela peut aller au-delà mais c’est plus rare.

    2.Quels sont les vrais risques 

    Le risque de votre investissement EHPAD reposera principalement sur la qualité du gestionnaire. En effet si votre gestionnaire est solide et maîtrise parfaitement la gestion de ses résidences, nous pourrons considérer que le risque est quasiment nul. Cependant si vous avez un bail commercial presque trop beau pour être vrai, et que le gestionnaire n’est pas suffisamment solide, il est possible que le gestionnaire ne puisse pas assumer les différents articles évoqués dans le bail voir même payer avec beaucoup de retard les loyers trimestriels.

    Nous considérons que pour protéger votre actif au maximum il faut sélectionner un bon exploitant dans un premier temps et maîtriser parfaitement les points fondamentaux du bail commercial. Si vous respectez cela, votre investissement sera moins risqué que d’acheter un appartement qui pourrait ne pas être loué.

    3.Existe-t-il un risque pour la revente de votre chambre EHPAD ?

    Cette question est assez fréquente et tout à fait légitime. Là encore, le risque repose sur la qualité du gestionnaire. Un bien que vous achetez avec un gestionnaire sérieux et solide pourra s’apprécier dans le temps et vous pourrez espérer une plus-value foncière. Cependant si vous avez acheté un bien avec un exploitant fragile, vous risquez d’être déçu le jour de la revente, car vous devrez le revendre à perte, et même avoir du mal à trouver preneur.

    Encore une fois nous insistons sur la qualité du gestionnaire pour votre acquisition et nous vous invitons à nous contacter afin d’avoir une sélection des meilleurs programmes EHPAD avec les exploitants les plus sérieux.

  4. L’évolution du secteur EHPAD dans les prochaines années ?

    Qu’est-ce-qu’un EHPAD ?



    Un EHPAD ou maison de retraite médicalisée, est un ensemble immobilier collectif. Généralement composés de 80 logements en moyenne, ces établissements ont pour mission d’accueillir les personnes âgées dépendantes de plus de 60 ans. C’est par ce critère que l’on fait la distinction entre les maisons seniors et les EHPAD. Les résidents des maisons de retraite médicalisées connaissent un degré de dépendance physique, voire psychologique tels qu’ils bénéficient au quotidien d’une assistance.

    Le secteur de l’EHPAD est très encadré et réglementé. Chaque nouveau projet nécessite l’accord entre le Conseil Régional et l’Agence Régionale de Santé (convention tripartite).

    Bien qu’il s’agisse d’un établissement médicalisé, les EHPAD ont réussi à intégrer des espaces communs de convivialité et de partage entre les résidents (cafétéria, restaurants, salons de coiffure…).

     

    Quel est le profil d’un résident EHPAD ?

     

    Les résidences médicalisées pour seniors accueillent des individus pour lesquels la dépendance est déjà constatée. Ceux-ci nécessitent donc un accompagnement permanent au quotidien.

    En moyenne, les résidents ont un âge avancé, 86 ans. La population féminine est largement représentée. En effet, nous comptons plus de 70 % de femmes seniors résidentes.

    Les résidents souffrent généralement de la maladie d’Alzheimer (55%), ainsi que d’hypertension artérielle (49%).

     

    Un nombre de places suffisant ?

     

    Aujourd’hui sur notre territoire, nous comptons plus de 1,5 million de personnes dites dépendantes, dont 55% d’entre elles en dépendance totale. Selon l’INSEE, dans dix ans le nombre de personnes de plus de 85 ans représentera 2 millions d’individus en France.

    Les établissements publics de retraite représentent 600 000 lits, alors que les 30 principaux groupes privés comptent quant à eux un peu plus de 85 000 places.

    Le constat est donc sans appel ! L’offre est bien inférieure à la demande actuelle.

     

    Une réponse des pouvoirs publics ?

     

    La prise de conscience des enjeux liés à la dépendance a été tardive en France. Les différents gouvernements retardent un plan de dépendance national et comment souvent, une réforme dans le domaine est attendue.

    Les démarches administratives nécessaires aux projets de construction d’EHPAD expliquent le décalage entre l’offre et la demande. En effet, pour chaque projet, une autorisation d’ouverture doit être octroyée.  Pas moins de cinq intervenants sont sollicités, le ministère concerné, la Direction Générale de l’Agence de Santé, le préfet et le Président du Conseil Général. Sans oublier que le financement de la dépendance par des subventions devient ardu pour les finances publiques.

    La réponse des pouvoirs publics est de miser sur une anticipation et une prévention de la dépendance, en retarder l’arrivée de la dépendance chez les personnes âgées. C’est pourquoi, les aides à domicile se développent mais souvent avec une qualité de services moindre que celle des professionnels présents dans les maisons médicalisées.

     

    Les professionnels du secteur peuvent-ils s’adapter ?

     

    Les projets d’EHPAD ne pouvant suivre le rythme de la dépendance en France, les exploitants réussissent à s’adapter pour continuer leur développement. Ainsi, les exploitants majeurs français (Colisée patrimoine, GDP Vendôme, Korian, Orpéa) cherchent à développer en absorbant de plus petits exploitants ne bénéficiant pas de leur expérience. C’est ce que l’on appelle le phénomène de concentration.

    Un autre mode de développement apparaît également à l’international. En proposant notamment des résidences à l’étranger, comme en Espagne ou en Belgique.

    Enfin, les gestionnaires cherchent à obtenir les accords leur permettant l’extension attenante de leurs structures. Ce qui pourrait leur permettre d’augmenter les capacités d’accueil de 15 à 30 logements par résidences.

     

    Quelle évolution pour les années à venir ?

     

    L’élévation du niveau de vie ainsi que l’allongement de l’espérance de vie et l’arrivée en retraite des baby-boomers, vont accroître la part d’individus de plus de 80 ans.

    Selon une étude de l’INSEE, entre 2005 et 2050, la population des plus de 65 ans connaîtra une hausse de 80%. Passant alors de 10 millions de personnes à 18 millions.

    Les plus de 60 ans représenteront 33 % de notre population à l’horizon 2040, contre 21% en 2000.

    Selon l’Agence Régionale de Santé, la demande de nouveaux placements en résidence médicalisée est de 15 000 chaque année. En face, la création de nouvelles places représente seulement 5 000 lits par an. Nous pouvons donc facilement constater qu’un déficit se crée et ne fera que s’accentuer dans les années à venir.

    Bien entendu, dans les décennies à venir, ces facteurs auront un impact important sur le secteur. Celui-ci devrait donc connaître un développement important.

  5. Le vieillissement de la population en France

    1.Le vieillissement de la population en nette hausse jusqu’en 2050

    Selon cet institut, 22,3 millions de personnes seraient âgées de 60 ans ou plus en 2050 contre 12,6 millions en 2005, soit une hausse de 80 % en 45 ans. À l’horizon 2050, 1 habitant sur 3 en France serait âgé de 60 ans et plus ; contre 1 habitant sur 5 en 2005.
    Les causes de ce vieillissement sont multiples, et pour certaines bien connues. Ainsi de l’allongement considérable de l’espérance de vie, progrès majeur du XXe siècle. L’espérance de vie moyenne dans notre pays est en effet passée de 47 ans en 1900 à 80 ans aujourd’hui. On doit également ce vieillissement global au fameux « baby-boom », cette importance hausse du taux de natalité qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, de 1946 à 1974.

    2.Une prise en compte insuffisante de la demande future en matière d’accueil des personnes âgées

    Ce vieillissement de la population emportera inexorablement des conséquences sur notre société et plus particulièrement la place des personnes âgées dans notre modèle social. Dans un tel contexte, en effet, la part du nombre de personnes âgées dépendantes va également augmenter. Des besoins importants vont se faire sentir de manière accentuée à l’avenir, que ce soit en matière de soins de longue durée, de services aux personnes âgées, de maisons de retraite médicalisées.

    Mis en place pour répondre à une partie de ces besoins, les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) équivalant à des maisons de retraite médicalisées, et délivrant l’ensemble des services afférents tels que la restauration, les soins médicaux et les assistances soumises à agrément, permettant son exploitation.
    La création d’un EHPAD, qui peut être soit public, privé associatif ou privé lucratif, est soumise à l’autorisation préalable du Président du Conseil général, le Directeur Général de l’Agence régionale de santé. Il doit, pour fonctionner, fait l’objet d’une convention tripartite pluriannuelle avec l’État et le Conseil général fixant, pour une durée de 5 ans, les objectifs de qualité de la prise en charge des résidents et ses moyens financiers de fonctionnement.
    Malheureusement, la nécessité de conclure une telle convention tripartite montre ses limites dans la mesure où elle ne permet pas de rendre possible la construction d’un nombre d’EHPAD suffisant pour anticiper la demande future potentielle en matière d’accueil des personnes âgées dépendantes, à l’heure où la France accuse déjà un retard important.

  6. EHPAD : Pourquoi est-ce un bon placement ?

    1.L’EHPAD est-il une valeur refuge ?

    L’investissement dans une chambre EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) suscite plusieurs polémiques surtout sur la rentabilité et sur le principe de considérer cet investissement comme une valeur refuge.

     

    2.Un marché en pleine expansion 

    Les études montrent que ce domaine est de plus en plus maitrisé et augmente sa part de marche d’années en année .Les experts dans ce domaine offrent leurs services pour rendre sure la valeur de l’investissement dans l’EHPAD.  L’investissement peut consister à acheter une ou plusieurs chambres dans la résidence .La concurrence n’est pas à craindre dans ce domaine contrairement aux autres marches de l’immobilier puisque l’EHPAD nécessite des démarches administratives complexes et plusieurs autorisations auprès de l’état vu que ce dernier finance en partie la construction. Le contrôle de l’État dans l’EHPAD assure une sécurité supplémentaire pour l’investisseur.

     

    3.Quels sont les atouts de l’achat d’une chambre EHPAD

    Une fois le bien acquis un gestionnaire s’occupe de toute la gestion de la résidence et donc de la chambre de l’investisseur. Le contrat de bail garantira le versement mensuel du loyer, donc aucune inquiétude pour le paiement du loyer car tout est contractuel. Les prestataires sont de plus en plus nombreux et leur professionnalisme permet d’avoir une meilleure gestion du parc immobilier.

    Face à un marché en pleine expansion la demande est encore bien supérieure par rapport à l’offre sur le marché. Une opportunité qui laisse encore à désirer pour les investisseurs qui souhaitent augmenter et élargir leur patrimoine en EHPAD. Quoi de plus naturel que de participer dans le développement de la société tout en prenant soin de ses propres biens en les élargissant son patrimoine. Vous n’aurez plus à vous soucier de votre retraite puisque vous obtiendrez par le biais de ce placement une rente très attractive, avec la possibilité de revendre votre bien au terme de votre avantage fiscal ou de le transmettre à vos enfants afin qu’ils récupèrent cet outil de rente.

  7. Vieillissement de la population

    Le développement d’un pays est étroitement lié, à l’activité de la population, à son environnement et notamment à la croissance de la population. Cette croissance est représentée par une pyramide des âges qui montre si la population est jeune ou vieille et par une structure de la population. Mais comment sait-on que celle-ci est en train de vieillir et quelles pourraient être les conséquences de ce vieillissement de la population ?

    On appelle vieillissement de la population ou vieillissement démographique le fait que le nombre des personnes âgées d’une société quelconque croît. On ne voit ce vieillissement que dans les pays développés, et dans les pays où le taux de natalité est très faible. Et il se trouve que l’Europe est le premier concerné suivi de l’Amérique du Nord et de l’Océanie.

    1.Critères d’un vieillissement de la population

    Une grande migration : de nombreuses personnes partent de leur pays d’origine ou des endroits où elles se trouvent pour partir vers un autre pays pour chercher une vie meilleure. Et ici, ce sont les jeunes qui sont beaucoup à partir pour trouver du travail.

    L’espérance de vie : dans les pays fortement industrialisés, l’espérance de vie a augmenté. Prenons par exemple le cas de la France, en 2004 l’espérance de vie d’une personne a effleuré les 80 ans ce qui est réjouissant mais elle augmente ainsi le nombre de personnes âgées inactif. Et dans les 10/20 ans à venir 10% des français seront des personnes âgées.

    2.Conséquences et impacts du  vieillissement de la population

    Ce vieillissement aura un énorme impact sur l’économie des pays concernés, il va toucher le marché du travail, celui des assurances car les personnes âgées ont besoin d’une multitude d’assurance.

    Dans les pays touchés par les migrations, il ne restera plus que ces personnes dans leurs pays. Ceux- ci n’auront plus la force de s’occuper de leur terre, leur sécurité.

    Compte tenu de ces différents éléments nous pouvons clairement conclure que dans les années à venir le secteur des séniors sera de plus en plus développé et nécessitera un service adéquat, par conséquent les résidences séniors et EHPAD seront en forte croissance. C’est donc un placement d’avenir qui ne connaîtra certainement pas la crise et qui devrait nettement dépasser nos frontières.

  8. Le degré de dépendance chez les personnes âgées

    1.Le mécanisme de la grille AGGIR

    Au sein d’une résidence médicalisée (EHPAD) les charges payées par les résidents augmentent en fonction de leur dépendance. C’est pour cela que la grille nationale AGGIR permettant de classer le degré de dépendance des personnes âgées a été créée par l’Etat. Cette évaluation est faite par le médecin de la résidence et par l’unité médico-sociale du conseil général du département pour les personnes âgées vivant à domicile.

     

    L’AGGIR comprend 17 variables. Les 10 variables appelées discriminatives servent à établir le GIR ou Groupe Iso-ressources : le comportement, la notion du temps et de l’espace, la toilette, l’habillage, l’alimentation, l’hygiène intime, les déplacements, les transferts de position et l’usage des moyens de communication. Les 7 derniers dits illustratifs renseignent seulement l’équipe médicale : la capacité de gestion de ses propres affaires, la préparation des repas, le ménage, l’utilisation des transports, le mode d’achat, le suivi des soins médicaux et les passe-temps. Ces 17 rubriques sont évaluées et codifiées (A, B, C) en fonction du degré de dépendance comme A : actes accomplis seuls et correctement, B : acte fait partiellement, C : actes non réalisés

     

    2. Les différents niveaux de dépendance

     

    GIR 1 : un groupe de personne âgé restant au lit ou dans un fauteuil avec une capacité cognitive diminuée et ayant besoin d’une assistance permanente.

    GIR 2 est divisé en deux sous groupes : il y a ceux qui restent sur lit ou sur un fauteuil avec une fonction mentale normale mais nécessitant une assistance pour les tâches quotidiennes et il y a ceux qui ont une capacité mentale altérée mais capable de se déplacer seul.

    GIR 3 : ce sont les personnes âgés avec une fonction mentale normale mais ayant besoin d’aide pour leur besoins personnels.

    GIR 4 : capable de se déplacer seul mais besoin d’aide pour se lever, se laver et s’habiller.

    GIR 5 : besoin d’aide pour la toilette, la préparation des repas et le ménage.

    GIR 6 : groupe de personne âgé indépendant au niveau des actes essentiels.

  9. Revendre une chambre EHPAD, Comment faire ?

    C’est une question récurrente que l’investisseur pose : « Une fois que j’ai amorti totalement mon bien et que je souhaite vendre mon ehpad, comment revendre ? Cela se revend-il facilement ? »

    Le marché des EHPAD est un marché de plus en plus demandé par les investisseurs pour les avantages fiscaux qu’il procure, la rentabilité et la sécurisation; ce placement est un excellent outil de diversification patrimonial.

    Le jour ou vous souhaitez revendre votre lmnp plusieurs options s’offrent à vous :

    1/ Revendre votre chambre à votre gestionnaire : C’est un schéma qui se présente régulièrement. Une fois que vous avez bénéficier de votre avantage fiscal et que votre bien commencera à dégager des revenus fiscalisés, vous pouvez le revendre. Avec les grands gestionnaires, le rachat se fera assez rapidement cependant il ne faut pas espérer de plus value foncière, vous revendrez votre bien au prix d’acquisition ou avec une légère plus value foncière. Cependant vous êtes quasiment assuré de pouvoir leur revendre très rapidement.

    2/ Revendre votre chambre à un professionnel de l’occasion : En effet beaucoup de sociétés se sont crées et ont pour vocation de racheter votre chambre et de l’a revendre à un investisseur qui se positionnera sur de l’occasion afin d’avoir un bien qui dégage des revenus immédiatement. Ce marché est en pleine explosion et un leader du secteur pourra vous aider et vous renseigner si vous avez besoin de revendre votre bien : La société «Le Revenu Pierre».

    3/ Vous pouvez très bien revendre votre lot par vos propres moyens afin de ne pas perdre de l’argent avec des intermédiaires. Cette opération prend cependant en général beaucoup plus de temps car vous ne maîtrisez pas forcément les bons reseaux de diffusions.

    De toute évidence un ehpad d’occasion se revend très bien et très facilement pour la simple et bonne raison que ce marché est saturé, il y a environ deux fois plus de demande que d’offre sur le neuf et donc les investisseurs se rabattent sur l’occasion.

    Ce qui fait également que la revente est assez courante est que l’avantage fiscal de l’acquisition en LMNP/LMP classique peut être réitéré à l’infini. Donc concrètement vous avez amorti votre bien pendant 15 ans et le nouvel acheteur pourra effectuer exactement la même opération. Notez que pour le Censi-Bouvard ce n’est pas valable, cet avantage fiscal ne peut être utilisé qu’une seule fois.

  10. Les meilleurs gestionnaires de résidence sénior

    Les résidences séniors comme les autres résidences de services permettent aux investisseurs de bénéficier d’un bon placement pour avoir une rentabilité attractive. Pour optimiser cet investissement, il est primordial de bien connaitre la qualité et l’expertise des gestionnaires de résidences séniors. Parmi ces gérants, trois d’entre eux occupent la tête du classement des meilleurs gestionnaires de résidences pour la prise en charge des personnes âgées.

    Le groupe Domitys du  groupe AEGIDE a été créé en 1998. Ses résidences sont constituées de maisons, d’appartements de type T1 au T3, de lieux de vie communs comme les restaurants, des salles de détente. Les résidences de Domitys proposent à ses résidents plusieurs prestations comme la préparation des repas, des activités sportives, l’assistance des résidents et de nombreuses animations collectives, le tout pour offrir une vie confortable à ses résidents. Le gestionnaire possède 30 résidences au total pour 920 résidents et un taux d’occupation de 97%.

    Le groupe Dolcéa a été fondé par GDP Vendôme. Dolcéa détient un capital d’environ 620 millions d’euros et possède 29 établissements spécialisés pour les personnes âgées de plus de 60 ans. Ses résidences disposent d’un personnel qualifié et formé qui fournit les meilleures prestations adaptées aux résidents. Pour le confort de ses résidents, Dolcéa respecte les principes suivants : accueil individualisé, accommodement entre liberté et sécurité des résidents, une vie sociale dans la résidence, une autonomie importante pour les résidents.

    COGEDIM club a été créé en 1999 par le groupe COGEDIM club. Il s’agit de l’un des leaders de gestionnaire de résidence sénior. L’implantation en centre ville est la meilleure tactique de COGEDIM. Le groupe propose à ses résidents à part une vie sociale agréable, les animations, et la sécurité l’accès aux commerces et les loisirs des grandes villes comme les cinémas.

  11. DomusVi : le professionnel du logement senior

    GDP Vendôme, son groupe fondateur, est présent sur le marché depuis 1990. Son expérience développée au fil des ans a fait de GDP Vendôme le gestionnaire de référence en matière d’EHPAD. Domusvi a alors su imiter les valeurs qui ont fait le succès de son groupe fondateur. Grâce à cela, il est devenu très rapidement un professionnel sur le marché des logements pour seniors.

     

    Les chiffres clés de Domusvi :

     

    DomusVi gère près de 200 résidences EHPAD, soit 14 400 lits. Le groupe est à la tête d’établissements accueillant tous types de seniors dépendants, mais il gère aussi plusieurs EHPAD spécialisés dans la maladie d’Alzheimer, de plus en plus présente chez les personnes âgées. Le gestionnaire gère aussi 13 résidences seniors, accueillant les personnes âgées autonomes, et 12 sont en construction.

    Jean-François Gobertier, Président Directeur Général, Marie Cayeux, Directeur Général et Thierry Morosolli, Directeur Général chargé des affaires immobilières et du conseil de surveillance sont à la tête de ce groupe, qui dégage un chiffre d’affaires de près de 620 millions d’euros (chiffres datant de 2011).

     

    Les valeurs que défend Domusvi :

     

    La stratégie de DomusVi tourne autour de trois axes : répondre aux besoins de ses investisseurs, en leur proposant des biens immobiliers de qualité et dégageant une forte rentabilité; répondre aux besoins de ses résidants, en améliorant constamment la qualité de ses prestations de services; puis répondre aux besoins de ses collaborateurs, par le biais de l’entreprise Dolcéa.

    Le groupe veille à ce que son personnel soit qualifié, et propose régulièrement de nouvelles formations afin d’améliorer constamment les soins pratiqués. Les protocoles des soins sont strictes, et tout soin pratiqué doit être tracé, afin d’éviter les doublons ou une mauvaise prise en charge des résidents en EHPAD.

    Domusvi souhaite offrir le meilleur confort à ses résidents, qu’il s’agisse de personnes dépendantes en EHPAD ou autonomes en résidences seniors. Pour cela, le personnel s’engage à respecter l’intimité de chaque résident, et leur offre un cadre de vie sécurisé et agréable. Aussi, afin d’améliorer sans cesse la qualité de ses services et répondre aux besoins de chacun, le groupe possède un livre d’attentes et satisfactions.

    Enfin, Domusvi ne cherche à avoir aucun secret envers les résidents et leur famille. C’est pour cela que le Conseil de la Vie Sociale organise plusieurs fois par an des réunions avec les familles des résidents, les résidents et le personnel, afin de répondre à toutes les interrogations concernant l’organisation de la résidence, les activités proposées, les projets, etc.

    Domusvi est un gestionnaire plein de bonnes volontés mettant tout en oeuvre pour satisfaire ses résidents mais aussi ses investisseurs. S’appuyant sur des modèles qui ont fait la réussite de certains gestionnaires, tout en innovant pour se différencier des autres, il promet de devenir une référence sur le marché des EHPAD et des résidences seniors.

  12. Domitys : Gestionnaire n° 1 des résidences seniors

    Créé en 1998 après la réalisation d’une étude sur le manque d’établissements pour les seniors, Domitys est un groupe qui a su développer un savoir-faire incomparable dans le domaine de la gestion de résidences seniors. Sa première résidence fut celle de Dompierre en Charente Maritime, grâce à l’initiative d’un membre de la direction d’Aegide. Les valeurs et la qualité des services de ce groupe font de cette société le numéro 1 sur le marché des seniors.

    Leurs valeurs permettent de garantir une sécurité ainsi qu’une qualité de leurs résidences :

    • Domitys garantie de respecter la vie privée des résidents,
    • Un contrôle régulier de la qualité des services proposés
    • Une évaluation des besoins de chacun
    • Une assistance personnelle
    • Et un service de gardiennage 24h/24  afin de garantir la sécurité dans la résidence.

    En plus de ces valeurs éthiques que le groupe promet de respecter, il propose des services de qualité, notamment au niveau de la restauration, où les menus sont variés et abordables au niveau du prix, mais aussi plusieurs salles où des animations sportives et ludiques sont organisées.

    Afin de répondre aux besoins de tous les seniors, y compris ceux qui ne souhaitent pas vivre en permanence dans ces résidences, Domitys propose trois programmes qui permettent de découvrir et profiter temporairement des services et de la qualité de ce groupe.

    • Le séjour découverte, qui vise à faire découvrir l’environnement d’une résidence Domitys, et mettre en confiance un senior qui aurait un mauvais a priori des résidences seniors.
    • Le séjour touristique, qui permet aux seniors souhaitant visiter une région de se retrouver dans un logement sécurisé et adapté, pour un tarif plus faible que dans un hôtel. Le groupe propose aussi des prestations touristiques.
    • Le séjour temporaire, qui permet aux seniors de venir se reposer dans la résidence, par exemple après une hospitalisation. Le résident aura un appartement meublé avec une télévision, la restauration en demi-pension, une assistance 24/24 heures, la fourniture du linge de maison, et le ménage quotidien.

    Domitys est donc un gestionnaire de qualité, proche de ses résidents et soucieux de la qualité des services qu’il leur propose.

  13. Comment bien préparer sa retraite ?

    L’évolution de la population Française d’ici aux années 2060 étudiée par l’INSEE montre un important vieillissement de la population, dû au recul de l’espérance de vie, au taux de fécondité constant ou légèrement en baisse, puis à l’immigration. La retraite nous concerne tous, et bientôt nous atteindrons une situation d’un actif cotisant pour un retraité. Il faut donc préparer dès maintenant sa retraite, afin d’avoir une situation financière stable à ce moment là.

    Le placement en résidence senior médicalisée permet de bien préparer sa retraite. Une résidence senior est une résidence de services. C’est un groupement d’appartements réservés à une clientèle de personnes âgées. Les résidents s’installent dans ce type d’établissement lorsqu’ils recherchent un appartement plus adapté à leurs besoins, dans un environnement sécurisé, proche d’un centre-ville.

    Investir en résidence de service revient à acheter un appartement de la résidence, et laisser la société de gestion gérer la mise en location. L’investisseur se créé alors du patrimoine immobilier, mais aussi des revenus complémentaires (5% de rentabilité), que le gestionnaire verse à l’investisseur, même si son bien n’est pas occupé. Sachant que la demande est très forte sur le marché des résidences EHPAD, ce placement n’est pas risqué. De plus, le bail commercial protège ce placement pendant 9 ans, et est reconductible.

    De ce placement découle une fiscalité avantageuse, car il donne au propriétaire le statut LMNP, Loueur en Meublé Non Professionnel, qui lui permet, en plus de ses loyers BIC de 5% de rentabilité net de fiscalité, d’amortir 80 % de la valeur du bien immobilier sur 20 ans et déduire les charges comme les intérêts de l’emprunt immobilier, mais aussi récupérer la TVA 6 mois après la mise en location de la chambre. L’investisseur peut également choisir d’opter pour le régime LMNP Censi-Bouvard, qui lui permet, à la place de l’amortissement, de déduire des impôts 11% de la valeur du bien sur 9 ans.

    Investir en résidence médicalisée est une bonne manière de préparer sa retraite, en profitant d’un actif sûr dans son patrimoine, et en profitant d’une fiscalité avantageuse. C’est aussi un bon complément de retraite, car l’investisseur perçoit 5% de rentabilité en revenus complémentaires.