Archives de la catégorie:dépendance

  1. Qu’est-ce-que l’aide médico-psychologique (AMP)

    Explication d’une aide de type AMP

    L’aide médico-psychologique (AMP) fait partie des disciplines paramédicales qui ont pour vocation d’accompagner les personnes en situation de dépendance physique ou psychologique dans les gestes de la vie quotidienne. Elle englobe des services apparentant aux domaines à la fois sociaux et éducatifs.

    Les aides médico-psychologiques interviennent au niveau de toutes les catégories d’âge. D’abord auprès des seniors, en les accompagnant dans leurs activités de tous les jours pour diminuer le poids de leur handicap, mais aussi auprès des enfants et des adolescents où, en plus du rôle de soutien psychologique, ils s’occupent de la stimulation de l’éveil cognitif et du développement de leurs capacités d’expression et de communication.

    Une autre mission des AMP est l’assistance des personnes à autonomie réduite dans l’entretien de leur hygiène personnelle et celle de leurs propriétés, l’animation d’activités sociales et culturelles pour assurer le maintien de leurs fonctions cognitives et leur épanouissement spirituel, ainsi qu’assurer une présence humaine effective afin d’éviter les sentiments d’isolement dont souffrent souvent les personnes âgées.

    Un pourcentage croissant de personnes voient leur champ d’action indépendante se réduire considérablement à cause de leur maladie. Les AMP sont de ce fait une pierre angulaire au sein des EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes), où ils travaillent en étroite collaboration avec des équipes multidisciplinaires de professionnels de la Santé.
    Les praticiens sont titulaires d’un diplôme d’état d’aide médico-psychologiques (DEAMP). Il est obtenu après une formation de 12 à 24 mois. Celle-ci est accessible à tout le monde sans aucun diplôme préalable. La seule condition nécessaire est la motivation et le dévouement aux autres.

  2. Qu’est-ce-que l’ostéoporose : prévention et gestion du risque

     

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    L’ostéoporose est une maladie diffuse du squelette qui se manifeste par une détérioration de l’architecture des os et une diminution globale de la masse osseuse. L’os ainsi fragilisé est à fort risque de fractures.

    C’est une pathologie touchant avec prédilection les femmes ménopausées, et ce à cause de la brutale diminution des hormones féminines après la ménopause. Ces hormones jouent un rôle essentiel dans le maintien de la structure et la solidité des os.

    L’ostéoporose est loin d’être une maladie bénigne, la morbidité, et parfois même mortalité, qui résultent de ses complications en font un problème majeur de santé publique. En effet, c’est la première cause de fractures en post-ménopause, le plus souvent des fractures des vertèbres. La particularité des fractures ostéoporotiques est qu’elles sont souvent asymptomatiques, il faudra donc savoir les évoquer devant des douleurs isolées et inexpliquées.

    Le diagnostic de l’ostéoporose est fait sur une évaluation radiologique appelée « absorptiométrie biphotonique à Rayons X » qui mesure la densité minérale osseuse (DMO)

    Le principal traitement de l’ostéoporose est la prévention ! Les gestes préventifs sont simples mais doivent être débutés dès l’enfance et l’adolescence pour acquérir un capital osseux maximal pendant la phase de croissance. Il faut avoir une activité physique régulière et respecter scrupuleusement les règles hygiéno-diététiques avec notamment une alimentation riche en calcium et en vitamines. Le tabac et l’alcool ont un effet délétère sur les os et doivent être bannis. Après la ménopause, un traitement hormonal substitutif peut être proposé mais dans des indications bien réglementées et sous la direction d’un médecin spécialiste.

    Si l’ostéoporose est déjà installée, des traitements curatifs existent tels que les SERMs (Sélective Estradiol Receptor Modulators) et les biphosphonates.
    Enfin, concernant les fractures, le traitement est le même que chez le sujet jeune. Les indications orthopédiques ou chirurgicales dépendront du choix des patients et de leur état. Les douleurs, quant à elles, doivent être prises en charge le plus normalement du monde à l’aide d’antalgiques et d’anti-inflammatoires simples. En principe, un contrôle correct de la maladie permet de les diminuer.

    Nous vous conseillons de vous diriger rapidement vers votre médecin traitant afin d’évaluer avec lui les mesures à mettre en place.

  3. La fracture du col du fémur chez les personnes âgées

    Les personnes âgées sont très souvent vulnérables et éprouvent quelquefois des difficultés pour se déplacer. Elles sont régulièrement victimes de chutes, ce qui entraîne malheureusement des conséquences dommageables sur les os. L’une d’entre elles est très commune chez les personnes âgées : la fracture du col du fémur. Elle peut réduire considérablement l’autonomie de l’individu et avoir des effets négatifs sur sa santé générale. Par voie de conséquence, il semble important de connaître les facteurs à risque, les conséquences pour une personne âgée, les moyens préventifs d’une chute et les différentes stimulations pour faire face à ce type de fracture.

     

    Qu’est-ce qu’une fracture du col du fémur ?

    La fracture du col du fémur est une fissure à proximité de la hanche. Ces fractures sont récurrentes chez les personnes âgées, dont les articulations sont spécialement fragiles au fil des années.
    La fracture du col du fémur survient chez les individus de plus de 80 ans après un traumatisme, par exemple une chute. Néanmoins, il peut arriver que la fracture se produise spontanément et c’est elle qui est à l’origine de la chute.
    Les fractures du col du fémur s’expliquent par la vulnérabilité des os causée par l’ostéoporose. La véracité de ce propos témoigne du fait que les femmes sont plus atteintes que les hommes. La réduction de la masse musculaire joue également un rôle prépondérant.

     

    Quels sont les facteurs de risques ?

    Le risque de fracture du col du fémur s’accroît donc avec l’âge à cause de troubles de la vue et de l’équilibre, mais également de l’ostéoporose et de la réduction de la masse musculaire.
    D’autres éléments à risques sont à prendre en compte dans le risque d’une fracture du col du fémur :
    • L’identité sexuelle de l’individu : ce sont les femmes qui sont le plus exposées à une fracture du col du fémur. Un fait qui s’explique par le couplage de l’ostéoporose et de la baisse des ostéogènes – provoquée par la ménopause.
    • Le patrimoine physique : les individus de petite taille ou disposant d’une faible ossature, à l’image des Asiatiques, sont sujets à l’ostéoporose.
    • L’alimentation : une carence en vitamine D et un défaut de calcium abaissent la masse osseuse et accroissent un risque de fracture du fémur. Un trouble alimentaire (anorexie, boulimie, etc.) porte atteinte aux os et démunit l’organisme de son développement osseux.
    • Le tabac et l’alcool endommagent la construction osseuse.
    • La consommation de quelques médicaments sur le long terme, telle que la cortisone, a des effets néfastes sur les os. Sans compter que d’autres médicaments peuvent engendrer des troubles de l’équilibre et des étourdissements.
    • La sédentarité et le manque d’exercices physiques, comme la marche ou la natation, solidifient les muscles et les os.
    • D’autres soucis de santé sont également pris en compte. Parmi ces facteurs à risque, l’on peut citer le diabète (type 1), la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, la dépression, etc.

     

    Quelles sont les conséquences pour une personne âgée ?

    La fracture du col du fémur entraîne très souvent une perte d’autonomie et quelques difficultés d’ordre médical chez le patient. D’autant plus que le traitement est souvent la chirurgie avec la pose d’une prothèse de hanche ou l’osthéosynthèse. La dépendance de l’individu dure le temps de la convalescence. La consolidation intégrale de l’os se fait entre 3 et 6 mois et l’hospitalisation est de 8 jours. À la suite de son opération, le patient regagne son domicile et se doit de suivre un programme de rééducation (entre 30 et 60 jours) pour stimuler ses articulations, tonifier ses muscles fessiers et maintenir des mouvements articulaires.

     

    Comment prévenir ces chutes ?

    La prévention repose principalement sur un changement des habitudes. Pour diminuer le risque de fracture du col du fémur l’individu se doit d’effectuer des exercices physiques régulièrement, baisser sa consommation de psychotropes (somnifère, antidépresseur, etc.), d’opter pour un matériel adapté à ses difficultés physiques (déambulateur, canne, etc.) et de corriger les éventuels troubles de la vue en consultant un ophtalmologue.

     

    La fracture du col du fémur peut altérer considérablement l’autonomie de l’individu et engendrer des problèmes d’ordre médical par la suite. Mais depuis les années 70, la médecine a fortement évolué. Les médecins ont identifié les facteurs à risque pour améliorer la condition des personnes âgées victimes d’une fracture du col du fémur. Sans compter qu’ils ont également déterminé des moyens de prévention pour précéder les chutes.

  4. Qu’est-ce-que la maladie de Parkinson

    La maladie de Parkinson est une affection neuro-dégénérative qui touche le sujet âgé et qui se retentit considérablement sur la motricité et l’autonomie. 

    Elle fut décrite pour la première fois en 1817 par James Parkinson et ne cesse de prendre de l’ampleur depuis. Bien que sa cause première soit génétique, la contribution des facteurs environnementaux et du mode de vie sédentaire ne sont pas négligeables. Aujourd’hui cette pathologie touche plus de 6 millions de personnes dans le monde et représente la deuxième cause de handicap fonctionnel chez le sujet âgé après les maladies vasculaires cérébrales. 

    Sur le plan moléculaire, la maladie de Parkinson est due à la dégénérescence d’une région du cerveau appelée Substance Noire qui fait partie du système cérébral extra-pyramidal. Elle produit un neurotransmetteur appelé Dopamine qui joue une rôle primordial dans la régulation du mouvement. 

    La pathologie se manifeste le plus souvent par un ensemble de signes appelés syndrome Parkinsonien ou syndrome Extra-pyramidal, celui-ci comprend principalement une akinésie (diminution globale du mouvement), une hypertonie (rigidité des membres qui deviennent dures à mobiliser) et le fameux tremblement parkinsonien. Néanmoins, des signes tout à fait atypiques peuvent figurer au premier plan, tels qu’une diminution de l’odorat ou des troubles digestifs, et qui doivent alerter l’entourage du patient. 

    Comme toutes les maladies neurodégénératives, la maladie de Parkinson tend à évoluer et s’aggraver avec le temps. Néanmoins, et fort heureusement, de nouvelles thérapeutiques ont vu le jour qui permettent de contrôler les symptômes pendant très longtemps et d’assurer une parfaite autonomie au patient. Les options thérapeutiques sont variées, elles vont des simples médicaments contenant de la Dopamine aux interventions chirurgicales complexes ; il revient au patient de choisir le traitement qui lui convient le mieux.

  5. Les formations A.L.E.P PRÉVENTION pour les Ehpad

    Les formations A.L.E.P PREVENTION

    Depuis 1997, nous créons des concepts de prévention en simulation pour agrémenter nos formations de soignants, mettant les stagiaires à la place de l’autre. L’émotion ressentie étant la meilleure thérapie pour adopter un comportement favorable à une meilleure prévention.

    • Le simulateur de vieillissement 

    Comment ressentir les effets du vieillissement pour le Grand Âge (matériel le plus performant du marché et révélateur du handicap, récompensé aux trophées du Grand Âge en 2009 avec le prix spécial).

    Motricité, vue, audition, sont les sujets abordés sur des ateliers autour du quotidien d’une personne dépendante.

    Film de présentation sur youtube : https://youtu.be/xc_s9pCu_V8 

    • Le simulateur d’obésité

    L’obésité touche parfois jusqu’à 20% des effectifs des résidents en EHPAD ou autres structures d’accueil. L’objectif étant de mieux comprendre et améliorer la prise en charge de ces patients en EHPAD. Ces simulateurs sont aussi disponibles à la vente.

    ALEP PREVENTION propose aussi

    • Les chutes du grand âge

    Elles sont la cause principale de décès par accident (différents facteurs liés : aux personnes, aux comportements et à l’environnement)

    • Les troubles du sommeil et la gestion du stress chez le sujet âgé

    Beaucoup de résidents éprouvent un grand stress lorsqu’arrive la fin de journée. Se retrouver seul est bien souvent vécu comme une angoisse, le manque d’activité ainsi que les micros-siestes ne font qu’accentuer les troubles du sommeil et par définition leur anxiété.

    • Les formations incendie en unité mobile MOBIFEU

    L’aire de feu sécurisée reproduisant une chambre avec lit et mannequin permet de dérouler des scénarios réalistes, de l’alarme à la mise en sécurité en passant par la manipulation des extincteurs sur de vraies flammes.

    Retrouvez toutes les informations utiles ici A.L.E.P PREVENTION

  6. La convention tripartite en EHPAD

    Pour construire une résidence EHPAD il est nécessaire de signer une convention tripartite entre la résidence, le Directeur Général de l’Agence Régional de Santé (ARS) et le Président du conseil Général du département dans lequel la résidence souhaite se construire.

    À ce jour coexistent 3 types de conventions tripartites :

    Convention tripartite de première génération : Cette convention est en place depuis la parution du décret n°2001-388 du 4 mai 2001. Dans cette convention de première génération aucune coupe Pathos n’est réalisée et les établissements sont tarifés en référence à la DOMINIC.

    Convention tripartite de deuxième et troisième génération en vigueur depuis janvier 2008. Ces nouvelles conventions intègrent de nouveaux éléments clés :

    –       inscription des données pour revaloriser la dotation soins de l’établissement.

    –       une logique de qualité accentuée

    –       fiche qui détermine les différentes actions que l’établissement veut mettre en place

    –       programmation financière pour la réalisation des objectifs

    –       bilan complet sur le droit des usagers

    Environ 60% des établissements ont conclu une convention tripartite de seconde génération et moins de 5% une convention tripartite de troisième génération.

  7. Quels sont les risques d’un investissement en EHPAD ?

    Tout d’abord il faut savoir que lorsque vous achetez une chambre EHPAD, vous n’êtes pas responsable de la location de votre bien et vous ne gérez quasiment rien car c’est l’exploitant qui va prendre en charge la gestion de votre bien.

    1.Le bail commercial en EHPAD sécurisé votre placement

    C’est le bail commercial qui vous permettra de déléguer totalement la gestion de votre chambre EHPAD et de ne pas vous soucier du fait qu’il y ait un locataire ou non dans votre chambre.

    Le bail commercial est déterminant dans la sécurisation de votre actif immobilier de type EHPAD :

    Ci-dessous 3 exemples de points évoqués dans le bail commercial, sachez qu’il y en a beaucoup d’autres, le bail commercial est un contrat qui vous lie au gestionnaire :

    Le rendement : Le rendement et donc le montant des loyers perçus est établi dans le bail commercial et évoluera en fonction de l’indice de revalorisation proposé par le gestionnaire (indice EHPAD, indice ICC, indice IRL etc.)

    Le versement des loyers : Le bail commercial garantira également un versement des loyers trimestriels sur le compte bancaire de l’investisseur. Le paiement des loyers se fait même si votre chambre n’est pas louée, c’est l’engagement du gestionnaire EHPAD.

    La répartition des charges : La plupart des gestionnaires EHPAD prennent en charge les différents travaux dans la résidence (petits travaux, gros travaux et remises aux normes). En fonction du bail commercial vous pourrez également avoir la prise en charge des assurances, de la taxe sur les ordures ménagères ainsi que les charges de copropriétés et de syndic.

    Comme vous pouvez le constater, le bail commercial permettra de définir les points cruciaux de cet investissement en chambre EHPAD et de maitriser votre investissement dans les années à venir. Un bail commercial est d’une durée initiale comprise entre 9 et 12 ans, cela peut aller au-delà mais c’est plus rare.

    2.Quels sont les vrais risques 

    Le risque de votre investissement EHPAD reposera principalement sur la qualité du gestionnaire. En effet si votre gestionnaire est solide et maîtrise parfaitement la gestion de ses résidences, nous pourrons considérer que le risque est quasiment nul. Cependant si vous avez un bail commercial presque trop beau pour être vrai, et que le gestionnaire n’est pas suffisamment solide, il est possible que le gestionnaire ne puisse pas assumer les différents articles évoqués dans le bail voir même payer avec beaucoup de retard les loyers trimestriels.

    Nous considérons que pour protéger votre actif au maximum il faut sélectionner un bon exploitant dans un premier temps et maîtriser parfaitement les points fondamentaux du bail commercial. Si vous respectez cela, votre investissement sera moins risqué que d’acheter un appartement qui pourrait ne pas être loué.

    3.Existe-t-il un risque pour la revente de votre chambre EHPAD ?

    Cette question est assez fréquente et tout à fait légitime. Là encore, le risque repose sur la qualité du gestionnaire. Un bien que vous achetez avec un gestionnaire sérieux et solide pourra s’apprécier dans le temps et vous pourrez espérer une plus-value foncière. Cependant si vous avez acheté un bien avec un exploitant fragile, vous risquez d’être déçu le jour de la revente, car vous devrez le revendre à perte, et même avoir du mal à trouver preneur.

    Encore une fois nous insistons sur la qualité du gestionnaire pour votre acquisition et nous vous invitons à nous contacter afin d’avoir une sélection des meilleurs programmes EHPAD avec les exploitants les plus sérieux.

  8. L’évolution du secteur EHPAD dans les prochaines années ?

    Qu’est-ce-qu’un EHPAD ?



    Un EHPAD ou maison de retraite médicalisée, est un ensemble immobilier collectif. Généralement composés de 80 logements en moyenne, ces établissements ont pour mission d’accueillir les personnes âgées dépendantes de plus de 60 ans. C’est par ce critère que l’on fait la distinction entre les maisons seniors et les EHPAD. Les résidents des maisons de retraite médicalisées connaissent un degré de dépendance physique, voire psychologique tels qu’ils bénéficient au quotidien d’une assistance.

    Le secteur de l’EHPAD est très encadré et réglementé. Chaque nouveau projet nécessite l’accord entre le Conseil Régional et l’Agence Régionale de Santé (convention tripartite).

    Bien qu’il s’agisse d’un établissement médicalisé, les EHPAD ont réussi à intégrer des espaces communs de convivialité et de partage entre les résidents (cafétéria, restaurants, salons de coiffure…).

     

    Quel est le profil d’un résident EHPAD ?

     

    Les résidences médicalisées pour seniors accueillent des individus pour lesquels la dépendance est déjà constatée. Ceux-ci nécessitent donc un accompagnement permanent au quotidien.

    En moyenne, les résidents ont un âge avancé, 86 ans. La population féminine est largement représentée. En effet, nous comptons plus de 70 % de femmes seniors résidentes.

    Les résidents souffrent généralement de la maladie d’Alzheimer (55%), ainsi que d’hypertension artérielle (49%).

     

    Un nombre de places suffisant ?

     

    Aujourd’hui sur notre territoire, nous comptons plus de 1,5 million de personnes dites dépendantes, dont 55% d’entre elles en dépendance totale. Selon l’INSEE, dans dix ans le nombre de personnes de plus de 85 ans représentera 2 millions d’individus en France.

    Les établissements publics de retraite représentent 600 000 lits, alors que les 30 principaux groupes privés comptent quant à eux un peu plus de 85 000 places.

    Le constat est donc sans appel ! L’offre est bien inférieure à la demande actuelle.

     

    Une réponse des pouvoirs publics ?

     

    La prise de conscience des enjeux liés à la dépendance a été tardive en France. Les différents gouvernements retardent un plan de dépendance national et comment souvent, une réforme dans le domaine est attendue.

    Les démarches administratives nécessaires aux projets de construction d’EHPAD expliquent le décalage entre l’offre et la demande. En effet, pour chaque projet, une autorisation d’ouverture doit être octroyée.  Pas moins de cinq intervenants sont sollicités, le ministère concerné, la Direction Générale de l’Agence de Santé, le préfet et le Président du Conseil Général. Sans oublier que le financement de la dépendance par des subventions devient ardu pour les finances publiques.

    La réponse des pouvoirs publics est de miser sur une anticipation et une prévention de la dépendance, en retarder l’arrivée de la dépendance chez les personnes âgées. C’est pourquoi, les aides à domicile se développent mais souvent avec une qualité de services moindre que celle des professionnels présents dans les maisons médicalisées.

     

    Les professionnels du secteur peuvent-ils s’adapter ?

     

    Les projets d’EHPAD ne pouvant suivre le rythme de la dépendance en France, les exploitants réussissent à s’adapter pour continuer leur développement. Ainsi, les exploitants majeurs français (Colisée patrimoine, GDP Vendôme, Korian, Orpéa) cherchent à développer en absorbant de plus petits exploitants ne bénéficiant pas de leur expérience. C’est ce que l’on appelle le phénomène de concentration.

    Un autre mode de développement apparaît également à l’international. En proposant notamment des résidences à l’étranger, comme en Espagne ou en Belgique.

    Enfin, les gestionnaires cherchent à obtenir les accords leur permettant l’extension attenante de leurs structures. Ce qui pourrait leur permettre d’augmenter les capacités d’accueil de 15 à 30 logements par résidences.

     

    Quelle évolution pour les années à venir ?

     

    L’élévation du niveau de vie ainsi que l’allongement de l’espérance de vie et l’arrivée en retraite des baby-boomers, vont accroître la part d’individus de plus de 80 ans.

    Selon une étude de l’INSEE, entre 2005 et 2050, la population des plus de 65 ans connaîtra une hausse de 80%. Passant alors de 10 millions de personnes à 18 millions.

    Les plus de 60 ans représenteront 33 % de notre population à l’horizon 2040, contre 21% en 2000.

    Selon l’Agence Régionale de Santé, la demande de nouveaux placements en résidence médicalisée est de 15 000 chaque année. En face, la création de nouvelles places représente seulement 5 000 lits par an. Nous pouvons donc facilement constater qu’un déficit se crée et ne fera que s’accentuer dans les années à venir.

    Bien entendu, dans les décennies à venir, ces facteurs auront un impact important sur le secteur. Celui-ci devrait donc connaître un développement important.

  9. L’offre EHPAD de plus en plus limitée

    1.Un agrément difficile à obtenir

    L’investissement en EHPAD est un placement à la fois sécurisé et rentable. En effet, ce dernier attire les investisseurs en ce qu’il permet de bénéficier du dispositif de défiscalisation Censi-Bouvard ou du dispositif LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel). Conseil

    Cependant, il faut savoir que la construction d’une résidence EHPAD nécessite un agrément du Conseil Général et de l’Autorité Régionale Sanitaire. A ce titre, une convention est passée entre ces trois acteurs comme l’exige l’article L 312-3 du code de l’action sociale et des familles.

    Afin de préserver la qualité des soins et l’accueil dans les structures, les accréditations sont attribuées au compte-goutte. Cela conduit à un phénomène de raréfaction des constructions alors que la demande de placement dans ces établissements augmente et ne cessera d’augmenter dans les années à venir. En effet, en France, le nombre de personnes de plus de 80 ans est voué à augmenter considérablement. Cette perspective d’évolution est due à divers facteurs comme l’élévation du niveau de vie, l’allongement de la durée de vie et l’arrivée à l’âge de la retraite des personnes du baby-boom.

    2.Un vieillissement de la population très rapide

    La situation actuelle permet déjà de dresser un constat. Selon l’INSEE, seulement 5 000 nouveaux lits sont construits chaque année alors que le besoin de la population s’élève en moyenne à 10 000 lits. On pourrait alors dire que la France connaît une « semi-pénurie » d’EHPAD. Ceci explique le taux moyen d’occupation qui s’élève à 98% pour la grande majorité des établissements.

    Les exploitants majeurs d’EHPAD (Orpea, DomusVi, Korian…) ont du s’adapter afin de poursuivre leur développement. Ainsi, depuis quelques temps ces derniers misent notamment sur l’absorption de plus petits exploitants. Ils tentent aussi d’obtenir les autorisations nécessaires à l’agrandissement des EHPAD déjà en exploitation dont ils assurent la gestion. Il s’agit d’extensions mitoyennes aux structures existantes qui peuvent compter entre 15 et 25 logements.

    De ce fait, le marché des EHPAD suscite davantage l’engouement des investisseurs. En effet, ils bénéficient non seulement d’avantages fiscaux mais ils se positionnent également sur un secteur très encadré (donc sécurisé) et en constante évolution.

  10. Le vieillissement de la population en France

    1.Le vieillissement de la population en nette hausse jusqu’en 2050

    Selon cet institut, 22,3 millions de personnes seraient âgées de 60 ans ou plus en 2050 contre 12,6 millions en 2005, soit une hausse de 80 % en 45 ans. À l’horizon 2050, 1 habitant sur 3 en France serait âgé de 60 ans et plus ; contre 1 habitant sur 5 en 2005.
    Les causes de ce vieillissement sont multiples, et pour certaines bien connues. Ainsi de l’allongement considérable de l’espérance de vie, progrès majeur du XXe siècle. L’espérance de vie moyenne dans notre pays est en effet passée de 47 ans en 1900 à 80 ans aujourd’hui. On doit également ce vieillissement global au fameux « baby-boom », cette importance hausse du taux de natalité qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, de 1946 à 1974.

    2.Une prise en compte insuffisante de la demande future en matière d’accueil des personnes âgées

    Ce vieillissement de la population emportera inexorablement des conséquences sur notre société et plus particulièrement la place des personnes âgées dans notre modèle social. Dans un tel contexte, en effet, la part du nombre de personnes âgées dépendantes va également augmenter. Des besoins importants vont se faire sentir de manière accentuée à l’avenir, que ce soit en matière de soins de longue durée, de services aux personnes âgées, de maisons de retraite médicalisées.

    Mis en place pour répondre à une partie de ces besoins, les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) équivalant à des maisons de retraite médicalisées, et délivrant l’ensemble des services afférents tels que la restauration, les soins médicaux et les assistances soumises à agrément, permettant son exploitation.
    La création d’un EHPAD, qui peut être soit public, privé associatif ou privé lucratif, est soumise à l’autorisation préalable du Président du Conseil général, le Directeur Général de l’Agence régionale de santé. Il doit, pour fonctionner, fait l’objet d’une convention tripartite pluriannuelle avec l’État et le Conseil général fixant, pour une durée de 5 ans, les objectifs de qualité de la prise en charge des résidents et ses moyens financiers de fonctionnement.
    Malheureusement, la nécessité de conclure une telle convention tripartite montre ses limites dans la mesure où elle ne permet pas de rendre possible la construction d’un nombre d’EHPAD suffisant pour anticiper la demande future potentielle en matière d’accueil des personnes âgées dépendantes, à l’heure où la France accuse déjà un retard important.

  11. EHPAD : Pourquoi est-ce un bon placement ?

    1.L’EHPAD est-il une valeur refuge ?

    L’investissement dans une chambre EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) suscite plusieurs polémiques surtout sur la rentabilité et sur le principe de considérer cet investissement comme une valeur refuge.

     

    2.Un marché en pleine expansion 

    Les études montrent que ce domaine est de plus en plus maitrisé et augmente sa part de marche d’années en année .Les experts dans ce domaine offrent leurs services pour rendre sure la valeur de l’investissement dans l’EHPAD.  L’investissement peut consister à acheter une ou plusieurs chambres dans la résidence .La concurrence n’est pas à craindre dans ce domaine contrairement aux autres marches de l’immobilier puisque l’EHPAD nécessite des démarches administratives complexes et plusieurs autorisations auprès de l’état vu que ce dernier finance en partie la construction. Le contrôle de l’État dans l’EHPAD assure une sécurité supplémentaire pour l’investisseur.

     

    3.Quels sont les atouts de l’achat d’une chambre EHPAD

    Une fois le bien acquis un gestionnaire s’occupe de toute la gestion de la résidence et donc de la chambre de l’investisseur. Le contrat de bail garantira le versement mensuel du loyer, donc aucune inquiétude pour le paiement du loyer car tout est contractuel. Les prestataires sont de plus en plus nombreux et leur professionnalisme permet d’avoir une meilleure gestion du parc immobilier.

    Face à un marché en pleine expansion la demande est encore bien supérieure par rapport à l’offre sur le marché. Une opportunité qui laisse encore à désirer pour les investisseurs qui souhaitent augmenter et élargir leur patrimoine en EHPAD. Quoi de plus naturel que de participer dans le développement de la société tout en prenant soin de ses propres biens en les élargissant son patrimoine. Vous n’aurez plus à vous soucier de votre retraite puisque vous obtiendrez par le biais de ce placement une rente très attractive, avec la possibilité de revendre votre bien au terme de votre avantage fiscal ou de le transmettre à vos enfants afin qu’ils récupèrent cet outil de rente.

  12. Vieillissement de la population

    Le développement d’un pays est étroitement lié, à l’activité de la population, à son environnement et notamment à la croissance de la population. Cette croissance est représentée par une pyramide des âges qui montre si la population est jeune ou vieille et par une structure de la population. Mais comment sait-on que celle-ci est en train de vieillir et quelles pourraient être les conséquences de ce vieillissement de la population ?

    On appelle vieillissement de la population ou vieillissement démographique le fait que le nombre des personnes âgées d’une société quelconque croît. On ne voit ce vieillissement que dans les pays développés, et dans les pays où le taux de natalité est très faible. Et il se trouve que l’Europe est le premier concerné suivi de l’Amérique du Nord et de l’Océanie.

    1.Critères d’un vieillissement de la population

    Une grande migration : de nombreuses personnes partent de leur pays d’origine ou des endroits où elles se trouvent pour partir vers un autre pays pour chercher une vie meilleure. Et ici, ce sont les jeunes qui sont beaucoup à partir pour trouver du travail.

    L’espérance de vie : dans les pays fortement industrialisés, l’espérance de vie a augmenté. Prenons par exemple le cas de la France, en 2004 l’espérance de vie d’une personne a effleuré les 80 ans ce qui est réjouissant mais elle augmente ainsi le nombre de personnes âgées inactif. Et dans les 10/20 ans à venir 10% des français seront des personnes âgées.

    2.Conséquences et impacts du  vieillissement de la population

    Ce vieillissement aura un énorme impact sur l’économie des pays concernés, il va toucher le marché du travail, celui des assurances car les personnes âgées ont besoin d’une multitude d’assurance.

    Dans les pays touchés par les migrations, il ne restera plus que ces personnes dans leurs pays. Ceux- ci n’auront plus la force de s’occuper de leur terre, leur sécurité.

    Compte tenu de ces différents éléments nous pouvons clairement conclure que dans les années à venir le secteur des séniors sera de plus en plus développé et nécessitera un service adéquat, par conséquent les résidences séniors et EHPAD seront en forte croissance. C’est donc un placement d’avenir qui ne connaîtra certainement pas la crise et qui devrait nettement dépasser nos frontières.

  13. Le degré de dépendance chez les personnes âgées

    1.Le mécanisme de la grille AGGIR

    Au sein d’une résidence médicalisée (EHPAD) les charges payées par les résidents augmentent en fonction de leur dépendance. C’est pour cela que la grille nationale AGGIR permettant de classer le degré de dépendance des personnes âgées a été créée par l’Etat. Cette évaluation est faite par le médecin de la résidence et par l’unité médico-sociale du conseil général du département pour les personnes âgées vivant à domicile.

     

    L’AGGIR comprend 17 variables. Les 10 variables appelées discriminatives servent à établir le GIR ou Groupe Iso-ressources : le comportement, la notion du temps et de l’espace, la toilette, l’habillage, l’alimentation, l’hygiène intime, les déplacements, les transferts de position et l’usage des moyens de communication. Les 7 derniers dits illustratifs renseignent seulement l’équipe médicale : la capacité de gestion de ses propres affaires, la préparation des repas, le ménage, l’utilisation des transports, le mode d’achat, le suivi des soins médicaux et les passe-temps. Ces 17 rubriques sont évaluées et codifiées (A, B, C) en fonction du degré de dépendance comme A : actes accomplis seuls et correctement, B : acte fait partiellement, C : actes non réalisés

     

    2. Les différents niveaux de dépendance

     

    GIR 1 : un groupe de personne âgé restant au lit ou dans un fauteuil avec une capacité cognitive diminuée et ayant besoin d’une assistance permanente.

    GIR 2 est divisé en deux sous groupes : il y a ceux qui restent sur lit ou sur un fauteuil avec une fonction mentale normale mais nécessitant une assistance pour les tâches quotidiennes et il y a ceux qui ont une capacité mentale altérée mais capable de se déplacer seul.

    GIR 3 : ce sont les personnes âgés avec une fonction mentale normale mais ayant besoin d’aide pour leur besoins personnels.

    GIR 4 : capable de se déplacer seul mais besoin d’aide pour se lever, se laver et s’habiller.

    GIR 5 : besoin d’aide pour la toilette, la préparation des repas et le ménage.

    GIR 6 : groupe de personne âgé indépendant au niveau des actes essentiels.

  14. DomusVi : le professionnel du logement senior

    GDP Vendôme, son groupe fondateur, est présent sur le marché depuis 1990. Son expérience développée au fil des ans a fait de GDP Vendôme le gestionnaire de référence en matière d’EHPAD. Domusvi a alors su imiter les valeurs qui ont fait le succès de son groupe fondateur. Grâce à cela, il est devenu très rapidement un professionnel sur le marché des logements pour seniors.

     

    Les chiffres clés de Domusvi :

     

    DomusVi gère près de 200 résidences EHPAD, soit 14 400 lits. Le groupe est à la tête d’établissements accueillant tous types de seniors dépendants, mais il gère aussi plusieurs EHPAD spécialisés dans la maladie d’Alzheimer, de plus en plus présente chez les personnes âgées. Le gestionnaire gère aussi 13 résidences seniors, accueillant les personnes âgées autonomes, et 12 sont en construction.

    Jean-François Gobertier, Président Directeur Général, Marie Cayeux, Directeur Général et Thierry Morosolli, Directeur Général chargé des affaires immobilières et du conseil de surveillance sont à la tête de ce groupe, qui dégage un chiffre d’affaires de près de 620 millions d’euros (chiffres datant de 2011).

     

    Les valeurs que défend Domusvi :

     

    La stratégie de DomusVi tourne autour de trois axes : répondre aux besoins de ses investisseurs, en leur proposant des biens immobiliers de qualité et dégageant une forte rentabilité; répondre aux besoins de ses résidants, en améliorant constamment la qualité de ses prestations de services; puis répondre aux besoins de ses collaborateurs, par le biais de l’entreprise Dolcéa.

    Le groupe veille à ce que son personnel soit qualifié, et propose régulièrement de nouvelles formations afin d’améliorer constamment les soins pratiqués. Les protocoles des soins sont strictes, et tout soin pratiqué doit être tracé, afin d’éviter les doublons ou une mauvaise prise en charge des résidents en EHPAD.

    Domusvi souhaite offrir le meilleur confort à ses résidents, qu’il s’agisse de personnes dépendantes en EHPAD ou autonomes en résidences seniors. Pour cela, le personnel s’engage à respecter l’intimité de chaque résident, et leur offre un cadre de vie sécurisé et agréable. Aussi, afin d’améliorer sans cesse la qualité de ses services et répondre aux besoins de chacun, le groupe possède un livre d’attentes et satisfactions.

    Enfin, Domusvi ne cherche à avoir aucun secret envers les résidents et leur famille. C’est pour cela que le Conseil de la Vie Sociale organise plusieurs fois par an des réunions avec les familles des résidents, les résidents et le personnel, afin de répondre à toutes les interrogations concernant l’organisation de la résidence, les activités proposées, les projets, etc.

    Domusvi est un gestionnaire plein de bonnes volontés mettant tout en oeuvre pour satisfaire ses résidents mais aussi ses investisseurs. S’appuyant sur des modèles qui ont fait la réussite de certains gestionnaires, tout en innovant pour se différencier des autres, il promet de devenir une référence sur le marché des EHPAD et des résidences seniors.

  15. De nouvelles recherches pour faire reculer la dépendance

    Michèle Delaunay, Ministre chargée des personnes âgées et de l’autonomie, a lancé les travaux d’un tout nouveau centre de recherches mêlant un EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) et des recherches universitaires penchés sur la maladie d’Alzheimer. La fin des travaux est prévue pour 2014.

    Huit millions d’euros, c’est le budget prévu pour financer ce centre de recherches et cet EHPAD, qui seront rattachés à l’hôpital Xavier Arnozan, près de Bordeaux. Pour la première fois, des chercheurs et un centre pour seniors dépendants vont s’associer afin de trouver des réponses encore inexistantes aux quelques recherches effectuées sur la vie des personnes âgées en institution. Les résidents pourront avoir accès aux essais thérapeutiques et faire l’objet de recherches spécifiques. Les recherches s’articuleront sur plusieurs axes : gériatriques, neurologiques, psychiatriques, sciences humaines, anthropologiques, épidémiologiques, et économiques.

    A terme, ces recherches aboutiront à des solutions afin de lutter contre la dépendance. En effet, il s’agira de prévenir la dépendance, et permettre aux seniors ayant subi une perte d’autonomie de vivre plus longtemps chez eux, même si la présence d’une aide soignante est nécessaire. Cela permettra de libérer les places en résidence médicalisée pour les malades atteints d’Alzheimer à un stade avancé. Il s’agira aussi de comprendre les dépenses des patients et de leurs proches en ce qui concerne les soins liés à la dépendance. L’objectif sera de diminuer les dépenses.

    La dépendance étant un phénomène de plus en plus présent dans notre société, il est important d’entreprendre des recherches afin de limiter l’impact qu’il aura sur les générations futures.

  16. ORPEA : Les raisons qui en font un bon gestionnaire

    ORPEA est devenu aujourd’hui le premier gestionnaire d’EHPAD. Il est aussi reconnu pour la gestion de ses cliniques de réadaptation, Clinéa. Voici les différentes raisons qui font de cette société de gestion un gestionnaire de confiance.

    Tout d’abord, ORPEA est un gestionnaire important, puisque son chiffres d’affaires atteint les 1,234 milliards d’euros, avec des bénéfices nets de 80 millions d’euros. Ce groupe est en pleine croissance, puisqu’il est coté au SBF 120, à la bourse parisienne. Cela lui permet d’augmenter sa notoriété et ainsi d’augmenter le nombre de ses investisseurs (25 % en un an).

    Aussi, ORPEA est l’un des seuls gestionnaires à gérer des établissements au niveau européen. Il détient plus de 320 établissements en France, et 71 établissements répartis en Belgique, en Espagne, en Italie et en Suisse. Investir dans un établissement géré par ORPEA diminue les risques qui peuvent être imputés à l’investissement locatif. De plus, le bail commercial que l’investisseur signe avec le gestionnaire lors de l’acquisition de son bien meublé est le meilleur bail qui existe sur le marché dans la plupart des programmes.

    En ce qui concerne les investissements réalisés par les français, investir avec ORPEA permet de profiter d’un gestionnaire solide financièrement, et qui possède de plus une expérience sur le marché des seniors, et particulièrement celui de la dépendance.

    Enfin, ORPEA propose des investissements à bonne rentabilité puisqu’elle atteint les 4% à 5 %, ce qui représente la rentabilité moyenne du marché. Aussi, ce gestionnaire propose des programmes à partir de 130 000 euros HT en moyenne. Ces programmes sont de qualité depuis leur développement jusqu’à l’exploitation et de ce fait ils rencontrent un grand succès et des ventes très rapides.

    ORPEA est donc un gestionnaire de confiance en matière d’investissement en immobilier locatif en EHPAD. Son sens du sérieux et son expérience sur le marché de la dépendance offrent une sécurité supplémentaire à ce type d’investissement. Les investisseurs seront sûrs que leur acquisition sera gérée sérieusement, et qu’ils pourront ainsi percevoir leurs loyers sans inquiétude de faillite du gestionnaire.